Quelques nouvelles d’invité·es des éditions précédentes :
Le temps des Luttes de Saadia Gacem :
Saadia Gacem, invitée en 2019 a conçu un Fanzine intitulé » les temps de luttes », paru le 8 mars dernier.
« Le temps des luttes », revient en images et en mots sur quatre évènements importants qui ont marqué le parcours du féminisme en Algérie. La première rencontre nationale des femmes de 1989, la grande marche des femmes du 8 mars 1990, la rencontre nationale des féministes de 2019 et la marche des femmes du 8 mars 2020.
Paru pour la clôture de l’exposition « Untold » à l’espace Rhizome d’Alger, sur les violences faites aux femmes, le Fanzine s’inspire du projet de la chercheuse Awel Haouati « Archives des luttes des femmes en Algérie ».
La Nuit sera mon endroit d’Isabelle Mandin :
Isabelle Mandin est une réalisatrice venue en 2019 présenter son film « Ya Hesra ». Comme les choses se font souvent bien sur la place du festival, c’est à cet endroit qu’elle rencontre la productrice de son futur film.
Pour ce nouveau projet, Isabelle Mandin fait partie des dix auteurs et autrices qui ont participé au « Parcours d’auteurs » mis en place par la Plateforme cinéma de la région Pays de la Loire . De septembre 2020 à juillet 2021, suivez l’avancée de son projet de documentaire La Nuit sera mon endroit.
Pour lire son journal de bord, c’est ici : La plateforme
Voix Intérieures (Manifeste) d’Yves Mwamba
Yves Mwamba danseur et chorégraphe était présent en 2018 au festival, non pas pour danser mais pour relever le défi lancé par Virginie ( notre programmatrice) et Yann ( Directeur de l’époque) d’être chef de la cuisine durant une journée pour le festival. Bien lui en a pris car c’est sur la place du festival qu’il rencontre l’activiste congolaise invitée, Rebecca Kabugho avec qui il monte le projet Voix intérieures (Manifestes).
Sa première création se construit autour d’un trio composé de Rebecca Kabugho, activiste politique, Pytshene Kambilo, musicien et lui même, danseur chorégraphe.
À l’appui des mouvements citoyens exigeant les droits les plus élémentaires – la mise à disposition d’eau et d’électricité pour tous, la protection, l’éducation, le vote libre (et non truqué), la fin de l’enrôlement forcé d’enfants dans l’armée pour dénicher des matières premières -, le chorégraphe s’offusque à voix haute contre le mépris des dirigeants du Congo.
Retrouvez-le en interview ici
Michaël Andrianaly – « Filmer son pays »
L’association Comptoir du Doc a lancé en mars dernier un blog autour de la création documentaire : Les fugues de comptoir.
Tous les mercredis, nous publions un entretien avec un·e cinéaste (podcast ou vidéo), un article autour d’un film, ou encore un web-média de quartier.
Cette semaine l’invité est Michaël Andrianaly, réalisateur de Nofinofy qui était sélectionné pour le Grand Cru 2019.
Retrouvez l’interview de Michaël Andrianaly et d’autres interview de cinéastes et de professionel.les du cinéma documentaire sur Les fugues de comptoir.