Bruno Hadjih sillonne régulièrement l’Algérie depuis 1995 à la rencontre de ses habitants·es. Il s’intéresse au soufisme et a notamment travaillé sur la jeunesse algérienne confrontée à la guerre civile. Il arpente depuis des années le désert qui, sous son regard, n’est pas un espace immuable mais un lieu de vie. En partenariat avec Le Cri suspendu, nous présentons son travail de photographie et d’enquête autour des essais nucléaires français dans le Sahara. Une enquête qui l’a mené jusqu’au sud Algérie où des femmes et des hommes furent internés·es dans des lieux irradiés. Ce travail a été prolongé par le documentaire At(H)ome, réalisé par Elisabeth Leuvrey, lui aussi diffusé dans le cadre du festival