Entre conte et film de super-héros, l’Islandais Benedikt Erlingsson signe un long-métrage à l’humour décalé.
Vif et plein de ressources, ce “film d’action poétique” a pour héroïne une activiste quinquagénaire qui sévit dans la lande islandaise. Mi-Don Quichotte, mi-Lara Croft en Damart, elle plonge le pays dans l’obscurité en dynamitant les pylônes électriques qui approvisionnent les usines d’aluminium, menaces pour les terres sauvages de l’île.