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        • 202244ème ÉDITION DU FESTIVAL DE CINÉMA DE DOUARNENEZ HELVÈTES UNDERGROUND Du 20 au 27 août 2022 Chaque année, nous invitons des peuples différents à dialoguer via leur filmographie, leur littérature, leur musique… avec l’ici. La question sous-jacente à ce dialogue étant « comment habiter la terre » ? Pour ce faire, nous restons à l’écoute des voix minorisées. La Suisse, pays façonné par des minorités, présente une filmographie rebelle et critique sur la société, qui a retenu notre attention. Un pays multilingue, à l’opposé du modèle centralisateur français, qui ne peut que nous interroger. Nous montrerons aussi des films en lien avec les éditions passées, les thématiques chères au festival ou des réalisateurs·rices invité·e·s lors de précédentes éditions. Nous ferons dialoguer l’ici et l’ailleurs, via la section Regards d’ici qui met en valeur la création cinématographique de Bretagne. La place centrale du festival, au cœur de la ville, qui favorise les échanges et les rencontres, donnera cet esprit de fête qui caractérise Douarnenez.
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      Dimanche 20 août : des nouvelles d’Afghanistan en soutien à Mortaza Behboudi
      7 mars 2023
      Nos invité.e.s
      1 août 2023
      Publié par Festival de Cinéma dans 1 août 2023
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      Causeries / Petits déjeuners-Palabres

      Toutes les causeries et palabres sont interprétées en langue des signes française.

      Petits déjeuners – Palabres

      – 10h Salle des Halles –


      Dès 9h30 vous pouvez vous installer pour un succulent
      et copieux petit-déjeuner à la salle des Halles. De 10h à 11h30, vous aurez la possibilité
      de vivre un moment « intimiste » avec un·e invité·e du festival et
      d’échanger sur des thématiques qui nous sont chères.

      DIMANCHE 20 AOÛT

      LE WAPIKONI MOBILE, UN PROJET
      ARTISTIQUE ET SOCIAL INNOVANT

      Cofondé en 2003 par Manon Barbeau, le Conseil de la Nation
      atikamekw et le Conseil des jeunes des Premières Nations du Québec
      et du Labrador, avec le soutien de l’Assemblée des Premières Nations
      et la collaboration de l’Office national du film du Canada, le lancement
      du Wapikoni mobile a eu lieu en 2004 dans le cadre du Festival
      international Présence autochtone à Montréal. Depuis, le Wapikoni
      mobile circule dans les communautés autochtones et offre aux jeunes
      des Premières Nations des ateliers permettant la maîtrise des outils
      numériques par la réalisation de courts-métrages et d’oeuvres musicales.
      À chacune de ses escales, des « cinéastes-accompagnateurs »
      accompagnent une trentaine de jeunes participants en formation à
      toutes les étapes de la réalisation.

      LUNDI 21 AOÛT

      RENCONTRE AVEC ALANIS OBOMSAWIN

      Chanteuse, conteuse, et cinéaste, Alanis Obomsawin, dont le
      nom de famille signifie « guide éclaireur », poursuit son chemin de
      « batailleuse ». Pionnière du cinéma autochtone, elle a montré la
      voie à nombre de générations qui aujourd’hui osent affirmer leurs
      identités. Dès 1979, nous présentions un de ses films, Mère de tant
      d’enfants, puis, en 1997, ce fut un focus sur son oeuvre. À l’occasion
      des 40 ans du festival, en 2017, elle fut une des invité·e·s. Cette
      année, il était plus qu’évident que nous devions convier cette femme
      d’avenir à un grand partage.

      MARDI 22 AOÛT

      PRÉSENCE AUTOCHTONE,
      RENCONTRE AVEC ANDRÉ DUDEMAINE

      Le Festival international Présence autochtone est un événement
      festif annuel organisé à Montréal par l’organisme Terres
      en Vues depuis 1990, afin de célébrer les cultures autochtones
      des trois Amériques. Le festival est un point de convergence pour
      les Premières Nations, un espace de rencontres et d’échanges où
      réaffirmer et renforcer les liens d’amitié et de collaboration est
      rendu possible. André Dudemaine, son fondateur, viendra nous
      parler du renouveau artistique et culturel autochtone dont ce
      festival témoigne.

      MERCREDI 23 AOÛT

      CULTURE SOURDE, ARTS VISUELS
      ET LANGUE DES SIGNES

      En partenariat avec l’International Visual Theatre
      Chargée en histoire, la langue des signes occupe tant bien que
      mal une place dans notre société.
      Les Sourds d’aujourd’hui comprennent le monde avec leurs
      yeux. Leur culture visuelle, érigée en véritable art de vivre, donne
      naissance à ce joyau qu’est la culture sourde. Vous serez amenés
      à découvrir le combat de l’IVT (International Visual Theatre), qui
      est de faire rayonner cette culture riche et vivante en repoussant
      les frontières de l’art et en faisant tomber les barrières de la
      communication à travers une palette de propositions artistiques,
      linguistiques, pédagogiques et culturelles depuis plus de 45 ans.
      Nous interrogerons la place de cette culture et de cette langue dans
      la société actuelle et les enjeux politiques qu’elle revêt.

      JEUDI 24 AOÛT

      RENCONTRE AVEC JOSÉPHINE BACON

      Joséphine Bacon est une poète innue originaire de Pessamit.
      Elle est considérée comme une autrice phare du Québec. Joséphine
      Bacon dit souvent d’elle-même qu’elle n’est pas poète, mais dans
      son coeur nomade et généreux, elle parle une langue pleine de
      poésie où résonne l’écho des anciens qui ont jalonné sa vie.
      Lire et/ou écouter Joséphine Bacon, c’est avoir accès au Nutshimit.
      Le Nutshimit, « c’est l’intérieur des terres. C’est là où il y a
      les médicaments, c’est là où il y avait la nourriture, c’est dans le
      Nutshimit qu’on retrouvait notre identité, notre culture » dit-elle,
      mais c’est aussi un espace spirituel

      VENDREDI 25 AOÛT

      LA SOUVERAINETÉ NARRATIVE
      DES PEUPLES AUTOCHTONES

      Laissez-nous raconter, le projet transmédia de la réalisatrice
      abénakise Kim O’Bomsawin, rappelle qu’il est impératif de
      revenir à cette souveraineté narrative pour une véritable décolonisation
      et une émancipation des peuples autochtones. Se réapproprier
      son histoire mais aussi son avenir, passe nécessairement
      par des formes narratives qui s’éloignent de celles imposées par le
      colonisateur. Les langues jouent ici un rôle important, notamment
      dans ce qu’elles recèlent de non traductible.

      SAMEDI 26 AOÛT

      LE CORPS INTERSEXE, RENCONTRE
      AVEC JANIK BASTIEN-CHARLEBOIS

      Depuis son origine, le festival s’est intéressé aux minorités au
      sein des minorités. C’est ainsi qu’en 2012, les questions LGBTQI+
      ont commencé à être mises en avant. Bien souvent le « i » est oublié,
      les Intersexes ont veillé à ce que ça ne soit pas le cas. « Jamais
      sans nous, jamais à notre place ». C’est pourquoi, il est essentiel
      que nous revenions régulièrement vers cette minorité minoritaire
      qui nous interroge, à partir de leur corps, sur la normalisation de
      nos propres corps. Janik Bastien-Charlebois est professeure au
      département de sociologie à l’Université du Québec à Montréal. Ses
      domaines d’étude sont la démocratie culturelle, la diversité sexuelle
      et l’intersexuation. Elle mène une recherche sur l’émergence de la
      parole intersexe (FQRSC), est cochercheuse au sein du groupe de
      recherche Cultures du témoignage, puis est membre de l’Institut
      de recherches et d’études féministes ainsi qu’affiliée à la Chaire de
      recherche sur l’homophobie.


      Causeries

      – 18h Chapiteau place du festival –


      Sous le chapiteau de la place du festival chaque jour de 18h à 19h30 :
      une semaine de rencontres pour écouter nos invité·e·s, comprendre,
      s’interroger… décaler son regard…

      SAMEDI 19 AOÛT

      KWE, KWEI, KUEI

      Un temps pour se dire bonjour, pour se connaître. Une manière
      de « faire la coutume » comme disent nos amis Kanaks. Temps
      de diplomatie et d’accueil pour se dire d’où on vient et où on est.

      DIMANCHE 20 AOÛT

      #FREEMORTAZA,
      DES NOUVELLES D’AFGHANISTAN

      En partenariat avec Médecins Sans Frontières, Mediapart, Reporters
      sans frontières
      Notre ami Mortaza Behboudi a été emprisonné à Kaboul le 7
      janvier 2023. Nous souhaitons, nous exigeons son retour. Quoiqu’il
      arrive, il sera associé à cette rencontre qui abordera notamment
      la situation dramatique des Afghanes à laquelle Mortaza s’est
      toujours montré attentif et pour lesquelles il a pris tous les risques.

      LUNDI 21 AOÛT

      CHRISTOPHE COLOMB
      N’A RIEN DÉCOUVERT

      Censé avoir « découvert » l’Amérique en 1492, Christophe
      Colomb n’est même pas le premier européen à avoir foulé le sol
      américain. Par ailleurs, lorsqu’il arrive aux Bahamas puis à Cuba,
      l’Amérique est déjà peuplée de plusieurs millions d’habitants. Cette
      doctrine de la découverte va servir de base juridique dès le XVe
      siècle pour justifier la privatisation des peuples autochtones de
      leurs droits de propriété sur leurs terres et territoires traditionnels
      par les États qui continuent d’utiliser cette théorie juridique dans
      le cadre de leur droit national.

      MARDI 22 AOÛT

      LA PLACE DES FEMMES
      DANS LES CULTURES
      ET LES COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES

      « La décolonisation passe inévitablement par un “retour” des
      femmes autochtones dans la gouvernance communautaire et au
      sein de leurs nations ou peuples, incluant celle du territoire et des
      ressources naturelles. » 1 écrit Suzy Basile, universitaire d’origine
      atikamekw. Implicitement, elle dit le rôle central des femmes dans
      les communautés autochtones, hier mais aussi aujourd’hui, dans
      le travail de réparation et de guérison. Il faut aussi préciser que les
      femmes autochtones au Canada, qui forment 4 % de la population
      féminine du pays, représentent 24 % des victimes d’homicides
      (en 2019).

      1 https://www.acfas.ca/publications/magazine/2018/11/relation-femmesautochtones-
      au-territoire#author-key-0

      MERCREDI 23 AOÛT

      EXISTER DANS SA LANGUE

      La langue est comme une peau, donc poreuse, elle est l’espace
      de relation avec le monde. Elle permet aussi de construire des
      mondes et de les relier à d’autres. L’histoire des langues minorisées
      se confond souvent avec la volonté du dominant d’éradiquer ces
      mondes et avec une diversité de manières d’habiter la terre. Mais
      ces langues existent, elles renaissent, retissent des relations. Une
      forme de guérison.

      JEUDI 24 AOÛT

      LA COMMUNAUTÉ
      BISPIRITUELLE/INDIGIQUEER

      C’est, en 1990, à Winnipeg, capitale de la province canadienne
      du Manitoba, que le terme « two-spirit », « deux-esprits » est révélé.
      On parle également d’identité bispirituelle. L’identité bispirituelle
      s’exprime en possibilités de revendications identitaires multiples
      plutôt qu’en étiquette limitée et définie. Cette vision montre que les
      autochtones ont un discours propre sur la question du genre et de
      la sexualité que les conceptions et mots occidentaux ne peuvent
      pas pleinement transposer. Les personnes « deux-esprits » aspirent
      à retrouver pleinement leur place au sein des communautés autochtones,
      à reconstruire les rôles anciens et importants qu’ils
      assumaient pour leurs peuples. L’identité bispirituelle est ainsi
      porteuse d’une contemporanéité autochtone qui participe de la
      résilience et de la force des peuples autochtones d’Amérique du
      Nord.

      VENDREDI 25 AOÛT

      DÉCOLONISER LA PENSÉE
      ET LE TERRITOIRE

      Éradication des cultures, des langues, des modes de gouvernance
      mais surtout mise en place d’une « pensée » dominante dans
      tous les corps et les esprits. Comment sortir de cet enfermement,
      rouvrir vers l’avenir et la diversité ?

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